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Le i-motif d'ADN serait rare chez l'homme

Un consortium international composé de chercheurs de République tchèque, de Slovaquie, de Slovénie, du Canada, d'Espagne, d'Italie et de France (à l'École polytechnique / LOB) s'est penché sur la question de longue date de la stabilité de la structure inhabituelle d'acide nucléique "i-motif" dans les cellules vivantes. Ils ont montré sans ambiguïté que les niveaux de i-motifs d'ADN sont massivement épuisés dans les cellules humaines vivantes.

Nature Communications 2024