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Le Libellio printemps 2020 est arrivé

"Je n’ai jamais eu de chagrin qu’une heure de lecture n’ait dissipé", a dit un jour Montesquieu. Son tempérament était heureux, et peut-être la vie l’avait-elle épargné. Il est des chagrins que la lecture ne peut effacer mais peut-être a-t-elle ce pouvoir de les alléger, ce qui serait déjà beaucoup.

Ce numéro a été composé avant qu’une épidémie ne courre le monde. Il y est question de l’écriture scientifique, d’intrapreneuriat, d’organisation partielle, des relations entre torture et plaider coupable, de celles qui existent entre savoir théorique en gestion et savoir pratique des managers. Un outil de cartographie de la littérature y est également présenté.

Au moment où l’Italie est si sévèrement frappée, alors que les rues de Rome sont sidérantes de vide, une pensée aussi pour la ville que nous aimons, débordante de vie et de joie dans la douceur des premières nuits de printemps.

Certains d’entre vous ont sans doute connu ce bonheur que nous a donné Dufy par l’exposition qui lui a été consacrée l’année dernière au MuMa. Pour ceux qui n’ont pas eu cette chance, ses toiles illuminent ce numéro de leurs couleurs.

Autant que nous le pouvons, en ces temps de confinement, nous essaierons de donner encore à lire, peut-être en des numéros spéciaux.

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